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Cela fait exactement un an que beaucoup d’entre nous se sont réunis à Porto-Novo, au Bénin, pour la Conférence internationale sur les réparations. Comme vous vous en souviendrez, la conférence a abouti à la Déclaration de Porto-Novo appelant les « États africains et leurs dirigeants diplomatiques à se joindre à la société civile pour formuler des politiques et mettre en place des comités opérationnels afin d’institutionnaliser et de plaider en faveur de la justice réparatrice de la part des pays qui ont mis en œuvre la mondialisation criminelle de l’esclavage, et de faire ceci selon les principes du droit international et les dispositions des Nations Unies dans le cadre de la Décennie internationale des personnes d'ascendance africaine » [Traduction].
Pour souligner cet anniversaire, nous avons produit un rapport public bilingue résumant le travail que nous avons accompli depuis 2017. Le rapport inclut des réflexions sur les leçons que nous avons tirées de la rencontre de différents acteurs engagés dans la recherche de réparations, tout en nous donnant l'occasion de réfléchir à nos principales priorités pour l'avenir, y compris notre vision pour l'avenir de l'INOSAAR et nos plans pour les activités futures. Veuillez noter que le contenu de ce rapport s'adresse à toute personne, organisation ou institution intéressée par les relations de travail universitaires-communautaires, la lutte pour les réparations et la justice réparatrice et/ou le processus de décolonisation. Nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir le lire attentivement et de nous aider à le faire circuler auprès des personnes et organisations concernées.
Avec nos remerciements à vous tous pour votre participation à ce jour.